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KOGAN IS A PHOTOGRAPHER AND GRADUATED IN GRAPHIC AND FINE ARTS. HIS EXPRESSION FORMS PART OF THE TREND TOWARDS TRANSFORMING ABSTRACT-INFLUENCED FIGURATIVE ART,RESULTING IN THE CONTEMPORARY ART.THE ARTIST REFUTES ANY SPECIFIC INFLUENCE,WORKING BY INSTINCT,DIRECTLY ON CANVAS,RELYING ON HIS SENSIBILITIES IN TERMS OF POETICS AND HUMOUR. ALL OF HIS WORKS REPRESENT AN ENVIRONMENT IN WICH HUMAN AND SPIRITUAL DIMENSION ARE PRESENT,AND SUCH DISPLAY THE ENIGMATIC AND EVER-CHANGING SIDE OF HUMAN NATURE. HE EVINCES AN INNOVATIVE COMBINATION OF COLOURS AND METAL,IN ADDITION TO INTERPLAY OF CANVAS AND PIGMENT,HIGHLIGTHING UNEXPECTED FORMS AND TEXTURES. THE ARTIST ACKNOWLEDGES NO DEBT TO THE CLASSIS ABSTRACT ART, TOUGH HE DOES INVITE THE ONLOOKER TO IMAGINE AND APPRECIATE PRESENT-DAY ART, IN THE TRANSLATION OF A GRAPHIC SEMIOLOGY AND A SYMBOLS FOREST, MUCH AS CONVENTIONAL ART COULD BE APPRECIATED IN THE PAST IN A RHETORIC OF THE IMAGE. Norbert de ROSNY.

Sunday, 28 May 2017

22 MAI 2017











NOEMIE
 96 ANS

AVC émisphère gauche

"Je ne pourrai plus rentrer chez moi...."

1 AVC toutes les 5 secondes dans le monde








Friday, 19 May 2017

LA DOUCEUR DE LA DOULEUR





LA DOUCEUR DE LA DOULEUR  
LA DOULEUR QUI S’AIME

 Solitude, narcissisme et mélancolie :
 à propos d'une question décalée 

Hans ETTEMA






La Solitude




La solitude, le sentiment d’être seul, d’être séparé, isolé, sentiment de déréliction et de délaissement, est quelque chose qui peut nous envahir. Mais c’est également un sentiment basal qui est propre à la condition humaine. 





Quand je suis effectivement délaissé par ceux qui me sont chers, quand je ne connais personne qui peut recevoir mes plaintes et personne qui puisse écouter mes appels, je me sens vraiment seul. Mais il est aussi vrai que la condition humaine est précisément cet abîme qui se déploie en moi-même, qui me sépare de ce que je m’imagine d’être, ce que je désire. 




L’identité est cet entre les deux : dette différence entre ce que je suis momentanément et que je serai ou serais. Cette altérité et fissure en moi-même, qui me sépare toujours de ce que je peux être  et de ce qui je m’imaginai maintenant que j’ai été. La solitude provient aussi du fait que nous sommes qui nous sommes, des êtres qui sont capables de parler, à l’autre, à soimême (comme un autre), qui sont capables d’entendre les autres, de comprendre et être conscients de notre position et perspective à l’égard de tout et de tous ceux qui sont présents. Conscience aussi de notre présence, qui soit limitée. 




Mais la conscience n’est pas tout et la subjectivité n’est pas autonome ! Le sujet est selon l’expérience de la psychanalyse un être qui désire, et son désir ne se laisse jamais réduire à ce qu’on peut objectiver dans la raison. 
La communication avec l’autre et moi-même n’est jamais directe, mais toujours assujettie aux images, aux possibilités du langage, à la position que l’autre prend dans mon discours. 




Il y a une différence entre réalité, imagination et parole ! Et, pour être capable de parler à un autre, il faut que je me puisse déplacer à la place de cet autre, sans me perdre dans l’identification avec mon prochain, c’est-à-dire, respecter la différence, assumer ma position unique, pour objectiver et mettre les choses à leur place, assister à un monde commun, notre monde, le monde (c’est-à-dire, la réalité en symboles). 



Cela est la condition de notre existence, qui entraîne une certaine solitude qui est le sol de notre sentiment de n’être pas complet et de notre responsabilité. Comme cela la condition humaine contient aussi la disposition à la mélancolie, sans laquelle il n’y aurait pas de psychisme.















La Mélancolie





Mais il est possible d’être malheureux à cause des événements qui suscitent ma dépression. La liste des malheurs, qui nous accablent tous les jours, est infinie. Mais pas tous les malheurs suscitent une dépression. Parfois il se passe que je suis blessé par un événement dans lequel est suscité en moi quelque chose qui me fait revivre une blessure, une perte plus originale.




 Selon la psychanalyse classique, la dépression, comme le deuil, cache une agressivité contre l’objet perdu.2 À propos d’une perte (d’un objet perdu) le dépressif semble dire : « Je l’aime, mais plus encore, je le hais. 


Parce que je l’aime, je l’installe en moi ;  mais, parce que je le hais, cet autre en moi est un mauvais moi, je suis mauvais, je suis nulle, je me tue ».




 Quand un déprimé subit un malheur par exemple est abandonné, cela éveille une  autre situation d’antan, un théâtre plus archaïque, en lui. Le déprimé garde ce théâtre avec toutes ses forces en lui. 


La dépression, appelée « mélancolie » avant notre époque, est psychologiquement caractérisée par une représentation négative sur soi-même, une vue négative du monde et un pressentiment pessimiste vis-à-vis de l’avenir. 





Négligence, lenteur, tristesse, indolence, pessimisme, troubles du sommeil sont pour partie les symptômes de cette détresse, comme nous avons déjà vu chez Barbara. Souvent il y a plusieurs symptômes corporels. Mais ce sont surtout un malaise dans l’estime de soi et des sentiments de désespérance, d’impuissance (on ne peut plus en on ne veut rien) et culpabilité, qui sont frappant.



 Le patient juge la souffrance insupportable pour les autres et soi-même. Un sentiment de perte de tout et de tous est au centre. Et les déprimés sont cependant souvent très attachés à leur sentiment, qui leur donne une certaine identité. 




Une identité dans la douleur. Il est pourtant difficile de parler de leur expérience, comme il soit innommable et menaçant pour nous autres.  C’est surtout le déni de leur souffrance, c’est-à-dire le déni de leur vécu intérieur ou de leur âme, qui est soutenu par l’opinion commune que la mélancolie soit une maladie et qu’elle devrait préférentiellement être soigné par des médicaments. 





Mais  c’est mieux aussi de considérer la dépression sous l’aspect de la « défaite du sujet  » qui cherche désespérément à vaincre le vide de son désir.3  C’est-à-dire oublier soi-même, dénier la vie intérieure.



2 Freud, S. (1917) Trauer und Melancholie, GW 10. 3 Roudinesco, E. (1999) Pourquoi la psychanalyse ? Paris, Fayard.








Le Narcissisme





C’est dans le narcissisme que nous trouvons les sources cachées du sujet blessé, refusant de se (re)connaître. L’histoire psychologique de ce concept est encore jeune et aujourd’hui ce concept est, bien autrement, aussi une catégorie dans le grand système de DSM-IV.




 Le traitement des personnalités dites « narcissiques » a rendu aux psychanalystes une autre modalité de la dépression. Loin d’être une attaque dissimulée contre un autre, imaginé hostile parce que frustrant, la tristesse serait le signal d’un moi primitif blessé, incomplet et vide. Le dépressif a l’impression d’être déshérité d’un suprême bien innommable, de quelque chose non représentable, qu’il sait bien préserver en soi même, sans y être conscient. L’imaginaire dépressif est narcissique. 



Le monde narcissique peut être caractérisé par un retrait du monde des autres, déni de la réalité extérieure, repli sur leur désir traumatique donc innommable et refus de langage, suite à une blessure, une séparation, un deuil. L’objet, la chose perdue, est transformé en objet idéal tout aussi imaginaire, le Grand Tout au sein duquel le perdant s’unifie avec le Perdu, s’englobant tous les deux.4 Ni moi, ni toi, vases communicantes, déni de la séparation.





 Le narcissisme : Une fascination, concentrée autour de l'identité de soi-même (comparé, comparable, avec et comme un autre) qui ne se connaît pas et qui ne veut pas admettre le champ de l’autre. Dans ce narcissisme, la douleur est retrouvée comme le trait archaïque de sa propre identité. Une douleur qui s’aime, une douleur douce, crypte incompréhensible de soi-même.







Friday, 5 May 2017

EMMANUEL MACRON







PRESIDENTIELLE 2017

Par Xavier Alonso
La Tribune de GENEVE

«Tout cela est piloté par M. Hollande, qui est à la manœuvre de la manière la plus claire qui soit.» Première minute du débat présidentiel, mercredi soir, Marine Le Pen tire sans sommation. Elle veut faire de son rival Emmanuel Macron l’héritier de François Hollande. Deux heures et demie plus tard, il y a encore ce final grotesque: tandis que le candidat d’En Marche! conclut le débat, Marine Le Pen tente de le déconcentrer en hoquetant comme une gamine mal élevée: «Hollande! Hollande! Hollande!» Entre deux, la présidente (en congé) du FN ne cessera de ramener Emmanuel Macron au bilan de cet étrange quinquennat Hollande. Celui du président de la République le plus mal aimé des français. Paradoxe, ces mêmes Français s’apprêtent à élire dimanche un jeune politicien de 39 ans qui fut son conseiller durant la première partie du mandat et son ministre de l’Economie durant la seconde.Aussi la question est légitime: Emmanuel Macron est-il l’héritier de François Hollande? «Dans notre livre, François Hollande le dit: «Macron, c’est moi.» C’est le fils politique qu’il s’était choisi, mais pour plus tard: pour 2022», explique Gérard Davet. Avec Fabrice Lhomme, ces deux journalistes au Monde ont signé Un président ne devrait pas dire ça (Editions Stock). Un livre qui est le fruit de leurs 61 rencontres et plus de 100 heures d’entretiens tout au long du mandat (jusqu’en septembre 2016).Plus qu’un best-seller (200 000 exemplaires vendus), ce livre a sans doute définitivement empêché François Hollande de se représenter.«La politique est une alchimie. Certains transforment le plomb en or. Hollande a transformé l’or en plomb», résume Fabrice Lhomme à l’évocation de ce chef d’Etat qui n’a jamais su se faire entendre, respecter et encore moins aimer. En revanche, tous deux sont de ceux qui estiment que le bilan de François Hollande sera réévalué. «Aujourd’hui, simplement affirmer qu’il n’a pas été si mauvais vous fait passer pour un hollandôlatre», ironisent-ils.Alors quels liens tissent-ils entre ce président sur le départ et ce prétendu dauphin, à une demi-marche du sacre? «Macron est une sorte de Hollande transgressif. Mais quand on observe Macron en meeting, on peut être frappé parfois par la ressemblance, parfois même physique, avec Sarkozy. Macron est arrivé au bout de cette campagne en étant comme lui en 2007: transgressif. Hollande est l’inverse de ça: toujours rationnel», analyse Fabrice Lhomme. On multiplie l’exercice des vraies analogies entre les deux fauves politiques. Fauves? Oui, mais reste à savoir s’ils sont «grands»… Tant leurs trajectoires sont liées, pour le premier, à l’empêchement de Dominique Strauss-Kahn et, pour le deuxième, au renoncement de François Hollande. Ce dernier a donc joué sa carte.Emmanuel Macron se prépare à l’abattre.Et Gérard Davet de mettre en perspective: «Hollande, il est sympa en petit comité, mais il n’imprime pas. Et il a souffert dès le départ de ça. Il a souffert d’un délit de «sale gueule politique»: parce qu’il neressemblait pas à grand-chose. Macron, à l’inverse, quand il parle, on l’écoute. Il est beau gosse, il a les yeux bleus. Même quand il dit des phrases creuses, il retient l’attention!»Jacques Attali ne dit pas autre chose: «Emmanuel Macron est charismatique et il a cette qualité supplémentaire qui est celle des vrais hommes d’Etat, il a beaucoup de chance», raconte l’ex-conseiller de Mitterrand. Le controversé intellectuel, qui s’applaudit d’avoir fait entrer dans la vie publique François Hollande, Ségolène Royal et Emmanuel Macron, cherche les mots pour définir celui qui est encore président de la République pour quelques jours. «François Hollande est intelligent ethonnête. Vous avez parfois l’un, parfois l’autre. Mais alors, il manque une case qui est l’action…» résume Jacques Attali.Cette case-là, Gérard Davet la coche sans hésiter pour le favori de dimanche. «C’est un Hollande jeune, avec plus d’imprudence, de prise de risques, d’allant, de vision. Emmanuel Macron est de la génération qui prend des risques.» Effectivement, les CV sont éclairants. François Hollande a construit patiemment sa carrière au sein du PS en apparatchik talentueux que personne n’imaginait si haut. Et qui n’a pas laissé passer sa chance en 2012. A moins de 40 ans, Emmanuel Macron a déjà eu plusieurs vies: haut fonctionnaire de l’Etat, banquier d’affaires, conseiller personnel et ministre de l’Economie.«Ce sont les circonstances qui créent sa trajectoire. Emmanuel Macron n’était pas programmé pour l’Elysée. C’est un opportuniste, mais il faut l’entendre sans le côté péjoratif du terme.Emmanuel Macron aime répéter cette phrase d’Oscar Wilde: «Si tu ne peux pas ajouter desannées à ta vie, ajoute de la vie à tes années», explique François-Xavier Bourmaud, journalisteau Figaroet auteur de Macron, l’invité surprise (Editions de l’Archipel). Ne pas passer à côtéde sa vie serait donc la hantise de celui qui sera peut-être le plus jeune président de la République.Y aurait-il dans l’élection d’Emmanuel Macron dimanche aussi une victoire par procuration deFrançois Hollande? «Rentrer dans le cerveau de Hollande, c’est compliqué. On n’a jamais arrêté de le questionner sur Macron. François Hollande ne nous a jamais caché son affection profonde pour lui. Il nous a souvent répété: «Il est de gauche.» Il a souvent dit: «Macron, c’est moi.» Dès le début, il avait choisi Macron plutôt qu’Hamon», analyse Gérard Davet. Même son de cloche de la partde Fabrice Lhomme: «Ils sont très proches idéologiquement. Macron est peut-être un peu plus libéral économiquement mais sur les sujets de société, Macron est peut-être un peu plus à gauche. Car Hollande s’intéresse peu aux sujets de société. Alors qu’Hamon, c’est le PS des années 70…Hollande n’a rien à voir avec ça.»Pour autant, sur le plan de l’action politique, tout indique qu’Emmanuel Macron veut aller plusvite et plus loin que François Hollande. Un président avec lequel le ministre Macron a confesséune «série de désaccords». «Est-ce que je pourrai vraiment réformer?» avait insisté, à l’été 2014, l’ancien conseiller quand François Hollande est venu le chercher pour remplacer à Bercy le frondeur Arnaud Montebourg. Le mouvement En Marche! naîtra aussi de cette frustration, s’accordent plusieurs biographes d’Emmanuel Macron. Arrivé à l’épilogue de tous les drames familiaux – le fils a-t-il trahi le père? – trancher se révèle difficile. Qu’en pense l’intéressé? Quand il nous a reçus fin janvier, Emmanuel Macron répondait avec une formule tout en ambiguïtés: «Mon rapport à François Hollande n’est pas celui d’un obligé, nous ne sommes pas dans un système féodal. J’ai du respect personnel, de l’amitié pour le président de la République, que je ne renie pas.»Fachosphère et russosphère à l’unissonLa fausse nouvelle concernant un compte d’Emmanuel Macron aux Bahamas, évoquée par Marine Le Pen lors du débat de mercredi, a mis en lumière tout un pan d’Internet qui soutient la candidate du Front national. Ce faux grossier de lapseudo-société offshore– baptisée du nom du lycée que fréquentait Emmanuel Macron à Amiens – a d’abord été publié sur le forum 4chan de l’ultra droite américaine puis largement repris par des sites français de la fachosphère.C’est le cas du plus gros, egaliteetreconciliation.fr, le site d’Alain Soral, qui totalise plus de 5 millions de vues par mois, quand le site du mouvement En Marche!, par exemple, ne dépasse pas le seuil du million de pages vues. Il n’est pas le seul site de ce genre qui cartonne: fdesouche.com et voltairenet.org ont respectivement 3 et près de 2 millions de vues au compteur. Dans une étude sur l’impact des médias non traditionnels sur la présidentielle, la société de renseignements sur les réseaux sociaux Bakamo indique qu’un lien sur quatre partagé sur les réseaux sociaux provient de sources qui produisent des «fake news», des textes qui se présentent comme de vraies informations mais qui propagent de fausses nouvelles.Cette étude montre aussi que ceux qui relaient des articles de la phère «alternative», des sites d’extrême droite, conspirationnistes, anti-islam ou de propagande étrangère, fréquentent peu les médias traditionnels. Et inversement. Dans l’introduction du rapport, le journaliste Pierre Haski souligne que jamais dans une présidentielle française les «vérités alternatives», c’est-à-dire une vision factuellement fausse mais déologiquement motivée, «n’ont joué un aussi grand rôle».Sur l’exemple des commentaires concernant le débat télévisé entre les deux candidats, la grande majorité des observateurs de la presse traditionnelle a jugé médiocre, voire indigne, la prestation de Marine Le Pen. Les sondages d’après-débat donnaient tous Emmanuel Macron gagnant du duel du second tour. Le site Sputnik – qui s’amuse d’être qualifié de «main de Moscou» – valorise au contraire la stratégie offensive de la candidate frontiste et met en avant le fait que sur Twitter, «le nom de Marine Le Pen a été mentionné 10% plus souvent que celui de son rival, Emmanuel Macron, faisant de la candidate du FN la récipiendaire de la palme de popularité sur la Toile». Alain Soral va plus loin. Il dénie toute sincérité au vote, parle de fraude massive, de manipulation, de hold-up électoral ou de partie jouée d’avance par un «système totalitaire» 
qui se moque du peuple.
Olivier Bot
(Tribune de Genève)












Le professeur Adriano Segatori est un psychiatre et psychothérapeute italien. Son analyse du profil d’Emmanuel Macron, basée notamment sur sa biographie et ses images de campagne, le pousse à conclure, de manière très argumentée :

 « Macron est un psychopathe qui travaille uniquement pour lui-même. »


https://m.youtube.com/watch?v=NNDgsw39m9s


































Le regard et les yeux révèlent tout...
de la véritable personnalité








































« Macron n’aime que très peu la France, ni les Français. Il ne cherche qu’à valoriser son image et à s’appuyer sur celles et ceux qui la mettent en valeur. »



Emmanuel MACRON
 est un individu qui se soucie peu de ce que les autres pensent de lui... 

il les utilisent pour atteindre son but.





WHAT DID YOU EXPECT
FRENCH PEOPLE ?